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Compte tenu des nouvelles connaissances sur l’intelligence et la communication des plantes, le module vise à questionner, par le faire, les pratiques et usages en intégrant les nouveaux paradigmes biologiques à la collecte de données, leurs rendus et les interfaces intra-espèces et inter-espèces.
Les étudiant·e·s devront initier et/ou déployer une pratique plastique et de design au sein d’un sujet imposé.
Il leur sera demandé d’interroger la place du dispositif (objet, installation, environnement) au sein de nos écosystèmes, et du rôle que jouent l’interactivité et l’expérience dans son sens le plus large (du plus simple, sensoriel, haptique, olfactif...) au plus technique (connecté, data-visualisation...) Ces interrogations seront concrétisées dans une recherche formelle à soumettre à l’intervenant à chaque séance.
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Un espace de médiation adossé à un laboratoire scientifique fait appel à vous à l’occasion du colloque scientifique « Design, Data, villes et habitats intelligents (D2 VhI) » (Voir PJ). Cet espace contribue au sujet à travers un domaine sensible et super connecté: la forêt.
« Compte-tenu des nouvelles connaissances sur l’intelligence et la communication des plantes, la contribution vise à questionner les pratiques et usages en intégrant les nouveaux paradigmes biologiques à la collecte de données, leur rendu et les interfaces intra-espèces et inter-espèces. »
L’enjeu pour ce laboratoire est double.
D’une part rendre accessible au plus large public le sujet de la solidarité entre les espèces, ainsi que les mécanismes et enjeux des systèmes de communication entre elles, et avec les évènement exogènes (Qui provient de l'extérieur, se produit à l'extérieur) à leur communauté.
D’autre part, tisser un lien entre la forêt et la ville comme espace hyper connecté et sensible, car si beaucoup de prospections sont réalisées sur les villes à venir (Smart city, ville 2.0, 5G), il n’en demeure pas moins que la forêt peut être une source d’inspiration sur des mécanismes qui ont fait leurs preuves, mais qui surtout perdurent depuis des centaines de milliers d’années, sans avoir mis en péril la viabilité de leur propre écosystème, voire l’ont même amélioré au gré des générations.
Vous avez donc sept semaines pour réaliser une proposition d’exposition dont vous en êtes les commissaires. Celle-ci doit être de vulgarisation scientifique, mettant en avant la notion d’interactivité, d’expériences et de manipulations par le public. Chacun des dispositifs apporte une notion claire et déterminante dans la compréhension générale de l’exposition, afin de créer un espace de dialogue entre les scientifiques et le public.
Le rendu final se fera sous la forme d’une maquette échelle 1 de l’exposition, reproduisant l’espace occupé, les différents dispositifs et affichages, plus la version numérique.
28 fev > réception de la demande, études de faisabilité, et composition des équipes.
13 mars > évènement scientifique
rendu > dossier collectif avec le plan, le déroulé de l’exposition, les propos forts, le descriptif des expériences et des dispositifs à venir ainsi que la faisabilité. Chaque élément doit être pertinent et argumenté.
Note collective /20
20 mars > présentation du projet d’expo à un membre du laboratoire, et des avancées des maquettes. Discussions.
> cours sur UX site web.
>avancées sur les dispositifs interactifs.
/note semi collective /10 présentation de l’expo.
/note individuelle /10 des dispositifs
27 mars > avancées sur les dispositifs et signalétiques.
Rendu > individuel de compte rendu des Doctoriales /10
Rendu > collectif, maquette site web expo /10
3 Avril > finalisation des dispositifs, site et signalétique.
10 avril > expo. 30 min d’installation / 30 min de découverte de l’expo / 1h30 de rendu individuel
Expo note collective /40
Dispositif individuel /40
Semaine du 15 avril, le 19 au plus tard, rendu du site.
> Note collective /20
